Une aventure qui date de 1970...
L'Histoire du Sourgentin
Découvrir l'histoire de l'association, de ses membres qui depuis 1970 animent la revue et défendent le patrimoine culturel de nice et de son comté, c'est remonter le fil d'une histoire faite d'amitiés, de passions intellectuelles et de compétences renouvelées...
En mai de l’année 1970 paraît le premier numéro de la revue "Lou Sourgentin". Modeste tirage avec ses 11 pages
ronéotées pour une diffusion qui ne dépasse pas 300 exemplaires, le nouveau bulletin se présente comme "le lien" entre les membres du Cercle niçois Antoine RISSO créé deux ans auparavant au collège
du boulevard Pierre Sola.
Les trois artisans de la nouvelle publication sont professeurs au collège
d’enseignement secondaire qui, par décision de l’Inspecteur d’Académie des Alpes-Maritimes et en accord avec le tout nouveau Conseil d’Administration, porte le nom d’Antoine
RISSO.
Roger GASIGLIA y enseigne les lettres, Charles MALAUSSENA l’éducation physique et Jean VINCENTI
les mathématiques. Autour d’eux, et depuis son inauguration officielle du 29 avril 1968, de nombreux élèves, des enseignants, des amis et des personnalités du monde culturel niçois sont venus grossir
les rangs du Cercle niçois.
Expositions de travaux d’élèves, conférences et cours de langue niçoise
seront donc, désormais, complétés par l’édition d’un bulletin bilingue nissart-français dont on imagine sans peine les espoirs qu’il porte en ce printemps de 1970.
Textes et poésies en nissart, découverte – noblesse oblige – du savant naturaliste Antoine Risso mais aussi de l’évêque Pierre
Sola (le boulevard qui borde le collège), texte de Joseph Rosalinde Rancher sur "Lou festin de Cimiès", mots croisés en nissart et …la recette de "La soupa au pistou" constituent le sommaire de ce
premier numéro. L’aspect de la publication est fixée, elle ne variera que lentement au cours des 139 numéros suivants !
Ne doutant de rien quant à la périodicité, les responsables font paraître, dés le mois suivant, le numéro 2. Même forme
artisanale, même présentation et contenu analogue : on y poursuit la découverte de la vie d’Antoine Risso, on rencontre la famille Thaon de Revel (l’autre rue qui longe les bâtiments du collège) et
on se pourlèche à la lecture de la recette de la célèbre "Ratatouia" !
La voie est tracée et la forme
rédactionnelle définie dans ses grandes lignes. Les parutions prennent un rythme plus conforme à une fabrication qui de nos jours nous laisse rêveurs. Grâce à une machine à écrire qui n’est plus très
jeune, les textes sont saisis et composés en même temps sur des stencils papier qui seront placés sur une ronéo à encre tournée à la main pour sortir les 300 feuilles. De la même façon seront tirés
les verso, puis les différentes pages sont assemblées à la main en autant de cahiers que l’on colle entre deux feuilles de couverture imprimées, elles, par un professionnel !
Jusqu’à la fin de l’année 1972, c’est à dire jusqu’au numéro 9, l’administration et la fabrication du "Sourgentin" restent dans
le cadre du collège Risso. Mais un développement relativement important et des problèmes relationnels avec la direction de l’établissement amènent son premier déménagement. Au deuxième trimestre de
l’année 1973 paraît le numéro spécial 11, consacré à "La pesca" et sorti de l’atelier de l’Office Central de la Coopération à l’Ecole, installé à l’école Saint-Roch. Jean HAMMERER, le responsable, y
a accueilli l’équipe du Sourgentin que sont venu rejoindre entre temps Antoinette FRANCO, Séraphin LAUGERI, Raoul NATHIEZ, Thérésius PASSERON et Roger ROCCA.
Pendant quatre ans vont se succéder une série de numéro aux sommaires riches, où l’on retrouve des noms
prestigieux comme ceux de Francis GAG, Fernand MOUTET, André CANE, Jousé GIORDAN décédé quelques années auparavant, Jouan NICOLA… De grandes séries sont proposées sur plusieurs numéro : "Si mon Comté
m’était conté", de Roger GASIGLIA, "Qu èra" de Roger ISNARD, "Emparas lou nissart" de Carlètou MALAUSSENA puis de Christiane BAILET…
Les possibilités techniques ne permettent que la reproduction de dessins au trait : ils sont toutefois nombreux, essentiellement
dus à Paul MACARIO. La pagination atteignant une quarantaine de pages, le nombre de piles de pages augmente autour de la grande table et la ronde des bénévoles préposés à l’assemblage ne parcourt pas
moins de… cinquante kilomètres pour confectionner un numéro. Il faut ensuite préparer, encoller, faire sécher, découper ces galettes, le tout dans une ambiance chaleureuse où le nissart résonne en
maître !
Quelques numéros seront particulièrement remarqués : les 15 et 18 spéciaux consacrés à Rancher
et le 22 spécial Carnaval.
Mais encore une fois, l’espace de fabrication du Sourgentin devient
insuffisant, et il faut envisager un nouveau lieu d’implantation permettant la mise en place d’une gestion administrative qui se développe, compte tenu du succès de la jeune
revue.
En septembre 1976, et grâce à l’aide amicale de Thérèse ROMEO, la petite école du Monastère de
Cimiez, alors désaffectée, accueille l’équipe du Sourgentin. Le changement de siège sera, par ailleurs, l’occasion d’une évolution technique importante : le tirage sur une petite offset de
bureau.
Le numéro spécial 25, consacré aux "Bouta", est donc le premier d’une nouvelle série, intégrant
dessins et photos et tirée sur un papier de meilleure qualité. Les couvertures, qui différaient jusqu’alors uniquement par la couleur, vont être personnalisées par un dessin et imprimées en une
couleur.
En février 1977 paraît donc le 26e numéro du Sourgentin, sans titre spécifique car ce n’est pas un numéro
spécial. Dans son éditorial Charles Malausséna, rédacteur en chef, après s’être félicité de ce que la revue a atteint l’âge de raison "…sian proun fier d’aquestou numerò 26…", annonce surtout la
sortie du livre "Lou nissart à l’escola". Mis en place par une équipe du Sourgentin et édité par le CRDP, c’est l’outil qui devrait permettre à la revue de s’ouvrir vers l’extérieur. La diffusion de
cet ouvrage va être une des préoccupations de cette année 1977. Avancée importante dans la conception de ce support d’apprentissage, il est accompagné d’une cassette audio, mise en place par les
membres de l’équipe sourgentine et les voix de Christian BAILET, Charles MALAUSSENA et Raoul NATHIEZ.
Les rubriques traditionnelles se poursuivent : Qu èra ?, Lu belicre, Emparas lou nissart, Per una bouòna mastegagna, Mot crousat
et un compte rendu fidèle de la Ronde qui permet de façonner les numéros. Estimation surprenante, mais vérifiable : la ronde de fabrication d’un numéro de la revue, que l’équipe qualifie de marathon
pour lui garder tout son aspect sportif, nécessiterait cent mille pas pour certains, cinquante kilomètres pour d’autres. Le tout dans une excellente humeur entretenue par les barseleta de Gregori
Viola.
Si les photos peuvent techniquement être reproduites, l’essentiel des illustrations est constitué
de dessins de Paul Macario, avec l’arrivée d’un nouveau collaborateur, Jean-François Laugeri, qui a notamment pris en charge une série sur les armoiries de Nice.
Depuis le début de l’année, le Sourgentin est installé dans la petite école du Monastère de Cimiez, et le numéro 28 porte en
couverture le dessin de son portail d’entrée, au pied du célèbre "Bois sacré"
Notons que le numéro 29
officialise la publication, avec un siège social à Cimiez au domicile de Charles Malausséna, un siège administratif, rue Louis Garneray chez Antoinette Franco et une imprimerie installée à l’école du
Monastère de Cimiez. Pour la première fois apparaît le numéro de Commission Paritaire des Publications et Agences de Presse.
Le numéros 29 d’octobre 1977 "J. Bavastro, corsaire niçois", véritable ode à la mer consacre le dessinateur
Jean-François Laugeri, nouveau collaborateur du Sourgentin. Sa série sur les armoiries de Nice et quelques dessins avaient laissé augurer de la valeur du nouvel arrivé dans l’équipe rédactionnelle.
La vingtaine d’illustrations et culs-de-lampe illustrant le numéro le confirment. C’est donc l’aventure passionnante de Joseph Bavastro, contée merveilleusement par René Tresse. La vie du célèbre
capitaine niçois, Génois d’origine mais Niçois de cœur, fera quelques années plus tard l’objet d’un ouvrage de Robert Ciarlet, coédité par les éditions du Cabri et du
Sourgentin.
Quant à la mer, et aux dessins de navires et d’installations portuaires de J.-F. Laugeri, on
les retrouvera en juin 1979, dans le numéro 37 consacré aux "Chroniques du port de Nice sous la Révolution et l’Empire" et dans le 45 de février 1981 "Le navire à vapeur au port de Nice, de 1823 à
1863".
Les numéros se suivent, et avec eux les rondes mais aussi, parfois, les réunions amicales. Le 27
janvier 1979, à 15 h, dans les locaux du journal, la direction convie tous les animateurs à venir tirer les Rois. A cette occasion, Carlètou Malaussena reprécisait la nature du Sourgentin
:
"… un’obra couletiéuha e ouriginala couma n’i a pas douhi en lou pais
noustral…".
La sortie du numéro 37 en juin 1979 coïncide avec la mise en place d’un nouveau matériel de
tirage offset. L’ancien matériel ne pouvait plus sortir un Sourgentin aussi bien fini que les responsables le désiraient. Il est donc décidé d’investir dans un matériel semi professionnel, qui devait
permettre de gagner surtout en qualité.
Avec le numéro 49 présentant les Cartes du Pays niçois s’est achevée la première partie de l’histoire du
Sourgentin (1). Plus que la nouvelle couverture en couleurs, c’est l’infrastructure et le fonctionnement général qui se transforment désormais.
La première modification, et certainement la plus importante, est l’installation dans des locaux personnels que les responsables
de la revue ont décidé de louer au 70, avenue Milon de Véraillon, au pied de la colline du Mont Gros. Sans qu’il y ait eu le moindre problème, et sans nier, bien au contraire, toute l’aide apportée
par les services de la Ville de Nice, Lou Sourgentin installe ainsi un peu plus son indépendance.
Les
mois et les années qui suivent voient un développement et un rayonnement incontestables de la revue. Outre leur travail régulier au sein du journal, les responsables et les membres de la rédaction
participent à la plupart des actions en faveur de la langue et de la culture régionales. Ainsi Raoul Nathiez impulse à sa jeune troupe de théâtre un élan remarquable, et ses pièces soulèvent
l’enthousiasme d’un public averti. Roger Rocca et Jean-Claude Ranucci préparent leur Doctorat dans le cadre des enseignements universitaires de la section de langue d’oc mise en place à l’Université
de Nice par le Professeur Castela. Roger Isnard, André Cane, Francis Gag… animent un grand nombre de conférences. Christiane Bailet, Rémy et Roger Gasiglia, Robert Paolini, Geneviève et Jean-Claude
Ranucci enseignent le niçois, soit dans le service public de l’Education nationale, soit dans des Associations comme l’Acadèmia nissarda…
S’agissant de la politique rédactionnelle, elle vise avant tout à maintenir un équilibre entre langue proprement dite et sujets
culturels. Chacun des thèmes choisis met en évidence ce qui fait la spécificité du Sourgentin, à savoir l’Histoire au travers de l’Histoire des Hommes et de leur spécificité. Les tramways (LS 53), ce
sont les lignes et les dates de construction, mais aussi l’histoire des hommes qui leur ont donné une âme… La montagne (LS 57), c’est la découverte du Mercantour au travers des porteurs et des guides
du début du siècle… Et il en est ainsi du Long chemin d’une Niçoise (LS 65), de La Ciamada nissarda de Jouan Nicola (LS 69), du Train des Pignes (LS 70), du Ski (LS 75), de La Côte d’Azur (LS 78) :
la parole est aux acteurs, de préférence en nissart ou en gavouòt. Charles Malausséna puis Raoul Nathiez, qui prend la Direction de la Rédaction à partir du numéro 75, Le ski au soleil, mettent en
place des numéros riches et variés, avec ce souci constant d’ouverture aux acteurs de la vie "dóu cada jour", aussi modestes soient-ils. Toutes les sensibilités et toutes les graphies y sont
accueillies, et Lou Sourgentin s’affirme de plus en plus comme un lieu de rencontre.Souci constant de Jean
Vincenti, le Directeur-gérant, mais aussi de l’ensemble de la Direction, l’indépendance financière, condition de la poursuite de l’œuvre entreprise en toute liberté. Comme il l’affirmera à plusieurs
reprises dans ses éditoriaux, elle passe par le développement de la diffusion et des points de vente, ainsi que par l’augmentation du nombre d’abonnés.
Remarques de bon sens, et qui sont toujours d’actualité !
(à suivre)
(1) voir les encarts dans les numéros 140 et 141 de la revue.
Le 28 septembre 1388, devant l’Abbaye de Saint-Pons, les "députés" de Nice accueillent Amédée VII de Savoie, le
comte à l’armure rouge : "Si prenons le conte de Savoye qui marche a nous devers Pyemont et tant est puissant a nous desfendre de nos enemis". Six cents ans plus tard, la ville de Nice fête
somptueusement cette Dédition, véritable contrat par lequel la communauté niçoise s’associa, pour cinq siècles, à la Maison de Savoie.
Cet anniversaire marque, pour la revue Lou Sourgentin, le début d’une période de développement et de rayonnement
(1).
Période caractérisée par la mise au service de la mission culturelle d’une infrastructure
informatique de plus en plus performante et de mieux en mieux maîtrisée.
La ligne rédactionnelle telle
qu’elle est régulièrement définie par les réunions de Direction ne varie guère : Lou Sourgentin se veut lieu de rassemblement, libre de toute allégeance, avec la liberté de donner son avis sur les
grandes évolutions qui marquent l’espace niçois. Ainsi n’hésite-t-il pas à donner la parole au Professeur Castela dans le numéro 83 (octobre 1988) qu’il consacre à Nice au futur : "La première forme
de développement de la ville s’efforce de conserver la notion de patrimoine culturel qui permet de donner de la cohésion à la collectivité urbaine… La seconde est la ville de la facilité, acceptant
le remodelage de l’espace par une destruction éhontée du patrimoine…". Une liberté de jugement que l’on retrouve quelques mois plus tard, lorsque qu’il s’agit de marquer le Bicentenaire de la
Révolution française, sous la plume de Raoul Nathiez, directeur de la rédaction : "Si la population de notre Comté eut tant à souffrir durant la période dite révolutionnaire, elle le doit davantage à
l’état de guerre qu’à l’état de révolution, situation d’autant plus ressentie que nous étions un pays pauvre".
Cette ligne rédactionnelle, définie par les Directeurs, et que Raoul Nathiez met en œuvre lors des conseils de rédaction,
intègre depuis bien des années les avis des lecteurs recueillis lors de contacts personnels, de rencontres organisées (comme les présentations régulières), de lettres… On assistera même, en juin 1989
(n° 87), sous le titre de "Toui ensen" présenté Jean Vincenti directeur de la publication, à la mise en place d’une vaste enquête, à laquelle répondront une centaine de lecteurs
!
Ainsi donc une opération "Faites votre Sourgentin" qui devait marquer les vingt ans de la revue,
anniversaire fêté dans les locaux de la Mutuelle Générale de l’Education Nationale, hôtel Nikaia à Nice, en présence des représentants de la Mairie et des Associations
culturelles.
Au fil des mois et des années, les différents numéros se suivent régulièrement au rythme de
cinq parutions annuelles, proposant des sujets variés et dont bon nombre répondent à une attente des lecteurs. Il en est ainsi du "Vélo à Nice" (N° 82), des "Fleurs de Nice" et de la rencontre avec
Antoine Martin (N° 86), des "Transports" et de son évocation du Train des Pignes (N° 88), du "Cinéma à Nice", merveilleux voyage dans le passé de nos salles obscures et du monde de la Victorine (N°
91), des "Femmes du Pays niçois" (N° 93) Et toujours cette volonté de maintenir vivante la culture niçoise, garante d’une Identité à laquelle des milliers de lecteurs se sentent si attachés : "A
mitan camin tra li publicacioun touti sapienti e aqueli que soun basta divertissenti, dubert en toui sensa autre precounchet o ideoulougìa de n’en defendre l’Identita, lou Sourgentin es estat fin
ahura e pù countunià d’estre lountemp un ligame d’amistà e un moutiéu de reflecioun per un noumbre toujour pu gran de Nissart" (Roger Gasiglia, un des fondateurs du Sourgentin, sous le titre "La
plaça dóu Sourgentin en lou mouvimen cultural regiounal", dans le numéro 94 d’octobre 1990).
Intérêt du
contenu et qualité de la présentation ne cessent de retenir toute l’attention des responsables. De nouvelles rubriques font leur apparition, comme "La fleur du jour", de Roger Isnard, le "Pourtret
d’aquì" de Carlètou Malaussena, "L’architecture", de Jean-François Laugeri. Certaines disparaîtront, d’autres comme "La Caminada" évolueront, d’autres naîtront, comme "Jardins d’ici" de Dominique
Veux-Rocca ou "Expositions" d’Hélène Galli. La langue niçoise et son apprentissage, raisons d’être de la revue, seront présentes de façon constante, soit que la rubrique soit confiée à Jacques
Chirio, soit qu’elle trouve des collaborateurs plus occasionnels comme Jouan Garavagno, Jean Pastour ou plus récemment Robert Bistolfi.
Avec Raoul Nathiez, de nouvelles formes d’articles voient le jour : interviews qui donnent la parole, pratiquement en direct,
aux acteurs de la vie culturelle ou économique et tribunes où les avis différents sont présentés parallèlement.
Et tout autour du Sourgentin, toujours cette animation culturelle, faite des cours de nissart qui rassemblent de plus en plus
d’escoulan motivés – motivation qui trouvera sa concrétisation en juin 2000 par la mise en place des épreuves du Certificat d’Estudi Nissardi –, des Journées du Sourgentin (voir par ailleurs). Des
présentations régulières proposeront des entretiens avec des invités de marque : le professeur René Bourgeon pour le numéro 95 sur "Les hôpitaux à Nice", le colonel Raybaud commandant les Sapeurs
pompiers de Nice pour le numéro 102 sur "Les Pompiers de Nice", Renée Le Roux, ancienne directrice du Palais, pour le numéro 115 sur "Le Palais de la Méditerranée", le colonel de Gendarmerie Podevin
pour le numéro 118 sur "Gendarmes et voleurs", René Houat et Virgile Pasquetti pour le numéro 112 sur "La Libération de Nice", Monseigneur Varnava, évêque orthodoxe de Cannes pour le numéro 123 sur
"Les Russes à Nice", le Directeur de la Communication pour le numéro 124 sur "La Chambre de commerce", Amélia B., pour le numéro 126 sur "La vie galante", Ghislain de Charnacé, président des
vignerons de Bellet pour le numéro 133 sur "Les vins du pays niçois".
L’évocation de l’Histoire du
Sourgentin s’arrête là.
Il était difficile de résumer en quelques lignes trente ans de vie sourgentine, et très certainement des
événements ou des faits importants ont été omis.
Demandons l’indulgence de tous et souhaitons que ces
oublis servent à conforter les échanges de courrier entre les lecteurs et la rédaction.
Roger ROCCA
L'Histoire du Sourgentin